Allez de l’avant: Découvrez les six pilliers du marketing digital

Tout le monde parle du mot “marketing numérique”. Cependant, peu de gens savent vraiment ce que c’est !
Lisez la suite de cet article pour savoir si vous comprenez vraiment les 6 principaux piliers du marketing digital.

1. Stratégie

C’est la première étape à franchir lors de la mise en place du marketing digital dans votre entreprise. La stratégie déterminera en effet toutes les actions ultérieures. Une stratégie de marketing digital se base sur une analyse du marché, de la concurrence et du SWOT de votre entreprise pour déterminer comment elle va se positionner.
C’est également l’étape où vous devez identifier la nature de votre public cible, en particulier à l’aide de personas. Vous pouvez ensuite choisir les canaux numériques que vous utilisez pour atteindre et interagir avec ces publics.

2.Site Internet

Ce site internet est un incontournable pour toute entreprise qui souhaite mettre en place une stratégie digitale. En effet, le site web agit comme une vitrine pour votre entreprise et vous permet de collecter des leads et de les convertir. Pour que votre site Web remplisse correctement sa fonction, vous devez vous assurer de suivre certaines recommandations, telles que :

  • Adaptations aux téléphones portables : De plus en plus d’internautes accèdent à Internet via les téléphones portables. Par conséquent, votre site Web doit s’adapter pour éviter de perdre des clients potentiels.
  • Vitesse de chargement : Les sites qui mettent plus de 3 secondes à se charger perdent plus de la moitié de leur trafic !

3. Visibilité

Une fois que vous avez un site Web, vous devez générer du trafic vers celui-ci. Internet est vaste et pour obtenir des résultats, vous devez avoir une bonne réputation. Cette visibilité peut être obtenue de différentes manières :

  • Optimisation du moteur de recherche
  • Publicité en ligne
  • Utilisation des réseaux sociaux
  • Stratégie de contenu
  • Promotion hors ligne

Le meilleur moyen d’être visible sur internet à moindre coût est de combiner toutes ces technologies.

4. Transformation

C’est bien d’amener les internautes sur votre site, encore faut-il pouvoir les convertir ! Par exemple, vous pouvez demander à vos visiteurs de s’abonner à votre newsletter, de télécharger un livre blanc ou de vous appeler. Il existe de nombreux types de conversions, dont les plus idéales sont évidemment l’achat ou la commande.
Analyse de performance
Pour connaître vos résultats, vous devez les analyser. Grâce aux outils en ligne, vous pouvez collecter des données sur le comportement et les caractéristiques de vos visiteurs qui vous intéressent afin de détecter ce qui fonctionne bien et ce qui ne fonctionne pas sur votre site Web et vos annonces.

6. Optimisation

Utilisez les données de l’étape 5 pour prendre des mesures pour améliorer votre site Web et tester de nouvelles stratégies publicitaires.
Cela vous donnera de meilleurs résultats dans la prochaine période, ce qui vous apportera de nouvelles données qui vous permettront de vous améliorer (et ainsi de suite).

10 exemples de stratégie digitale qui fonctionnent

stratégie digitale

Développer votre visibilité, améliorer votre position de marché, légitimer votre offre auprès de votre client, raccourcir votre cycle de vente, fidéliser vos consommateurs… quels que soient vos objectifs, vous devez développer une stratégie digitale de contenus.

Le contenu est crucial désormais : il vous positionne en tant qu’expert auprès de vos cibles et vous permet de communiquer davantage, de façon directe ou indirecte, sur votre offre.

Quelles sont les tendances marketing et communication web en 2020 ? Découvrez comment développer une stratégie digital en 10 points, efficace et aux effets durables.

 

1O strategies digitales

  1. Identifier ses objectifs en stratégie digitale

Pas de stratégie digitale sans objectif ! Que souhaitez-vous faire ?

  • Développer votre visibilité ?
  • Améliorer votre image de marque ?
  • Légitimer votre offre ?
  • Gagner des parts de marché ?
  • Séduire une nouvelle audience ?
  • Améliorer la relation client ?
  • Etc.

Pour vous aider à réaliser votre stratégie, plusieurs méthodes existent :

La méthode SMART

La méthode SMART est une méthode qui a été créée par Peter F.Drucker. Elle est simple à mettre en oeuvre et se décompose en 5 étapes:

    • S  : définir un objectif spécifique
    • M : s’assurer que cet objectif est mesurable
    • A : vérifier que cet objectif est atteignable
    • R : rendre cet objectif réaliste
    • T : fixer l’objectif dans le temps

Les avantages de la méthode SMART c’est qu’elle est simple à mettre en oeuvre, mais elle est surtout réaliste et pragmatique.

La méthode SWOT

La méthode SWOT (ou FFOM en français) est un outil qui permet d’identifier les opportunités et les options offertes.
Cette méthode est très utile pour comprendre comment se situe l’entreprise par rapport à sa concurrence.

  • Elle permet d’identifier clairement ses Forces qui lui confèrent un avantage sur sa concurrence
  • Ses Faiblesses qui peuvent la désavantager
  • Les Opportunités que l’entreprise pourrait exploiter à son avantage
  • Et les Menaces, ou plus précisément les éléments internes ou externes susceptibles et pénaliser le projet.

Quelle méthode choisir ?

Nous n’avons cité ici que deux méthodes, mais il en existe de nombreuses autres. L’important n’est pas la méthode en elle-même. Trouvez celle qui vous parle le plus et appropriez-vous-la.

Vous pouvez même jouer avec et les mixer entre elles. C’est par exemple ce que nous faisons lorsque nous réalisons notre panorama de concurrence SEO. Celui-ci utilise s’appuie sur plusieurs méthodes que nous avons associées entre elles et qui nous permet aujourd’hui d’obtenir des résultats rapides et très concrets et acquisition et conversion.

Cependant lorsque vous choisirez votre méthode, ne négligez pas les points suivants :

  • Être réaliste
  • Être pragmatique
  • Produire des actions concrètes

Si vous connaissez vos ennemis et que vous vous connaissez vous-même, mille batailles ne pourront venir à bout de vous. (Sun Tzu – L’Art de la Guerre)

  1. Proposer un blog

Pour de nombreuses marques et entreprises, le blog constitue l’outil central de leur stratégie digitale. Avant tout, il s’agit de bien analyser ce dont vos cibles ont besoin et comment vous pouvez les aider à résoudre leurs problématiques. Lister ainsi tous les sujets susceptibles de les intéresser, bien au-delà de votre offre. Votre démarche doit être sincère, c’est la clé d’un contenu pertinent et efficace !

Exemple : Vous proposez du conseil et des formations RH ? Vos cibles se posent sans doute des tas de questions sur la réglementation, la formation continue. Elles sont sans doute intéressées aussi par les sujets qui font l’actualité « chaude » du moment : le harcèlement au travail, l’égalité salariale, le burn-out…

Utilisez votre blog pour « offrir » votre expertise sur tous les sujets qui intéressent votre audience. Implicitement, vous devenez une référence en la matière !

Côté référencement, avec vos articles de blog, vous occupez davantage l’espace sur la toile et si vos articles ont la cote, alors vous bénéficiez d’une bonne popularité, de nombreux liens (entrants et sortants)… tous ces éléments favorisent votre référencement naturel.

  1. Se doter d’une newsletter

Avec la newsletter, vous allez vers vos cibles et vous entretenez le lien avec elles. Un bon moyen de fidéliser votre portefeuille clients.

N’oubliez pas d’intégrer dans votre newsletter des liens qui mèneront vers vos articles de blog (et/ou vers votre site Internet d’entreprise). Faites votre toile !

Attention toutefois à bien respecter les règles d’édition et de social selling pour ne pas aller tout droit dans la boîte SPAM de votre audience !

  1. Attirer des backlinks

Pas de réelle stratégie digitale sans « Linkbait » ! Cette technique consiste à tout mettre en œuvre pour attirer des liens de qualité ou « backlinks », signe de la popularité de votre contenu.

Votre contenu doit donc être intéressant. Il doit offrir de la valeur. Informer, divertir, surprendre, émouvoir… bref, ce que vous avez posté, tant par le fond que la forme, doit donner envie aux internautes de le partager.

Une infographie de qualité, un test, un guide ou un Livre Blanc, un slide share… En somme, offrez quelque chose et essayez chaque fois de créer le buzz !

Plus vous obtenez de liens vers votre blog, plus il est noté comme populaire, voire référent et prend ainsi de meilleures positions en référencement naturel. Gardons en mémoire qu’a qualité de contenu éditorial équivalent, 12% des sites bénéficiant d’un bon DR (domain ranking), donc de backlinks de qualité se trouvent en première page de Google en moins d’un an, contre 3% pour un DR faible.

  1. Favorisez la diffusion externe

Sur votre site et/ou vos articles de blog, pensez à rendre disponibles certains de vos contenus afin qu’ils soient exploités par d’autres sites où lecteurs de flux RSS. C’est ce que l’on nomme « la syndication ».

Faites des « pitchs » de vos articles par des publications sur les réseaux sociaux où le contenu est ROI plus qu’ailleurs !

  1. Faire du « Guest blogging » (ou guest posting)

Un stratégie digitale qui fonctionne particulièrement bien, consiste à faire du guest blogging. Cette pratique va consister à inviter des « experts » ou des personnes référentes dans un domaine, à contribuer sur son blog.

Préalablement, sélectionnez ainsi les blogs intéressants pour votre entreprise, référents dans votre secteur. Soyez en veille sur les médias sociaux sur les sujets traités et à votre tour, interagissez sur ces blogs. Vous montrez indirectement votre expertise du sujet. Et idéalement, vous intégrez un lien vers l’un de vos contenus (s’il est de qualité et qu’il apporte un complément réel au sujet).

Bénéfices directs du guest blogging

  • acquisition de backlinks de qualité
  • augmentation du trafic sur votre site
  • attirer un nouveau type de public
  • créer des relations avec les blogueurs
  • améliorer et développer votre personal branding
  • promouvoir votre marque en tant qu’expert dans votre domaine
  1. Lancez votre chaine YouTube !

Par un contenu vidéo, expliquez votre expertise, décodez les éléments complexes, exposez vos solutions à des séries de problématiques. La création vidéo, lorsqu’elle est pertinente, puis bien diffusée et promue sur les bons supports (votre blog, votre page Facebook…) s’avère extrêmement puissante.
Un bon moyen de doper la popularité de l’entreprise.

  1. Proposez des podcasts

Développez la notoriété de votre marque et faites croître son audience grâce aux podcasts. Un excellent moyen pour diffuser des contenus audio et ainsi, offrir une autre forme de contenus aux internautes.

  1. Faites un suivi efficace… et utilisez-le !

Suivez votre concurrence, observez leurs évolutions, comparez leur positionnement avec le votre, inspirez-vous de leurs bonnes idées. Suivez l’indexation de vos pages dans Google et repérez les opportunités de référencement. Mesurez, mesurez, mesurez.

Faites de la « curation », c’est-à-dire, publiez un lien de contenu vers un autre site ou sur votre réseau social et ajoutez idéalement votre point de vue.

Vous pouvez aussi collecter et partager automatiquement ce que vous trouvez à partir de mots clés grâce à des outils comme Netvibes, Google Reader… Il s’agit alors d’agrégation.

  1. Optimisez vos contenus avec du « SEO on-page »

Tous vos contenus doivent être pensés en priorité pour l’internaute, pour vos cibles. D’où l’importance de connaître leurs intentions de recherche. Une fois que cela est fait, il est temps de penser « référencement naturel ». Vos textes sont-ils bien « Google friendly » ? Leur structure est-elle bien adaptée au lecteur et au référencement naturel ? Ne peut-on pas intégrer (subtilement) davantage de mots clés et d’expressions clés pour les moteurs de recherche ? A-t-on intégré des liens internes (maillage) ? externes (netlinking) ?

L’audit SEO permettra de répondre objectivement à toute ces interrogations et vous donnera la marche à suivre pour établir vos actions de référencement

Le SEO on-page est donc la partie qui consiste à optimiser le contenu de vos pages pour les positionner favorablement dans les moteurs de recherches.

 

Conclusions

Bien sûr, pour être efficace, la stratégie digitale doit s’inscrire dans le temps. N’espérez pas de résultats immédiats, vous seriez déçu. Et c’est bien logique : la confiance, ça s’acquiert dans la durée !
Vous pensez sans doute que tout cela nécessite aussi de s’y consacrer beaucoup et avec technicité (connaissances web, maîtrise rédactionnelle sur Internet, expertise marketing…). Et vous avez raison !

Pour définir une stratégie de contenus efficace, capable de servir votre image de marque et d’atteindre vos objectifs, des experts du référencement et du marketing digital accompagnent les entreprises. Puis, pour développement, mise en place de la stratégie digitale et évaluer les performances, ces agences se dotent de profils aux expertises complémentaires : expert en référencement, concepteur-rédacteur web, community manager, développeur, illustrateur, expert en intelligence artificielle et marketing d’influence…

Les marques l’ont bien compris et s’entourent de ces compétences externes, spécialistes en stratégie digitale et maximisent leur retour sur investissement : croissance exponentielle de demandes de devis, augmentation de la notoriété spontanée, augmentation de la visibilité, amélioration de l’expérience client…

Futuria Consulting est à votre service !

QUE CHOISIR ENTRE UNE APPLICATION OU UN SITE WEB ?

Les smartphones ont envahi le monde. En conséquence, les gens visitent davantage le web sur de petits écrans.

Et pourtant, les sites web sont majoritairement conçus pour de grands écrans d’ordinateur. Souvent, ils sont aussi adaptables aux tablettes et aux mobiles. En jargon, l’on parle de site web responsive ou responsive design, pour dire qu’ils s’adaptent à tous les types d’écrans.

Mais la réalité, c’est que les utilisateurs de mobiles vont davantage sur leurs applications qu’ils n’ouvrent de pages web.
Cela signifie que si vous avez juste un site web, vous n’exploitez pas tout votre potentiel.
Avec une appli, vous pouvez envoyer des notifications push, instantanément à vos utilisateurs. Ainsi, ils voient immédiatement vos nouvelles offres et promotions. Mais ce n’est pas tout. Les utilisateurs de l’application ont toutes les informations, en tout temps, même quand ils ne sont pas connectés à internet. Une application permet d’augmenter vos ventes, de fournir un service plus riche et une meilleure expérience utilisateur.
En résumé, une appli effectue tout ce que fait votre site, et même plus encore. Elle peut retenir vos clients et vous aider à en recruter d’autres.
Mais la question de savoir si vous avez besoin d’une application ou juste d’un site web adaptable dépend de la nature de vos objectifs et du type de votre commerce en ligne : par exemple est-ce un site e-commerce, un logiciel type SaaS (une web app), un site d’information ou autre ?

Une approche intéressante

Vous pouvez commencer par mettre vos données et votre code dans le cloud, débuter avec un site web adaptable et ensuite toucher plus de monde avec une appli mobile
Ainsi, vous augmentez graduellement le périmètre de vos affaires en améliorant l’expérience utilisateur.

Retenez donc que le choix dépend de vos objectifs mais que l’idéal évidemment, c’est d’avoir un site web adaptable et une application mobile.

6 ASTUCES POUR BOOSTER LA VISIBILITE DE VOS CONTENUS

C’est un fait : nous ne pouvons plus ignorer les réseaux sociaux mais les exploiter. Une bonne visibilité sur réseaux sociaux est bénéfique pour l’activité d’une entreprise.

Ces supports très contemporains permettent en effet d’atteindre sa cible et de lui proposer des contenus adaptés à ses besoins mais aussi à ses envies.

Voici 6 astuces pour booster la visibilité de votre contenu sur les réseaux sociaux.

 

1. Affichez votre présence sur plusieurs réseaux


Les réseaux sociaux sont nombreux et au lieu de sélectionner celui qui vous conviendrez le mieux, il est préférable d’afficher votre présence sur plusieurs de ces supports. Chacun d’entre eux vous permettra d’atteindre une cible bien particulière et vous aidera à orienter votre communication.

  • Facebook est le réseau social qui rassemble de plus de monde. C’est aussi le plus consulté.
  • Instagram propose des contenus très visuels qui attirent toutes les générations. Le réseau social affiche les publications par ordre chronologique ce qui est un atour.
  • Tweeter permet de publier des contenus courts et percutants parfois plusieurs fois dans la journée. Ces tweets ont une durée de vie limitée mais peuvent avoir beaucoup d’impact.
  • LinkedIn est un réseau social à destination des professionnels. Il est particulièrement préconisé dans le B2B.

 

2. Adaptez votre contenu aux exigences de chaque support

Si vous choisissez d’être présent sur plusieurs réseaux sociaux il vous faudra adapter vos contenus à chacun d’entre eux. Un même article ne pourra pas être publié à l’identique Sur Facebook Instagram et LinkedIn.

  • Sur Facebook, il faut faire de texte relativement court avec des phrases percutantes et des paragraphes réduits. Il est également recommandé de mettre un visuel qui motivera l’audience à lire le contenu, et pourquoi pas à se rendre ensuite sur votre site pour en savoir plus.
  • Sur Instagram, le visuel compte énormément car c’est lui qui apparaît dans le fil d’actualité. Il doit donner envie aux internautes de cliquer pour en savoir plus.
  • Sur LinkedIn, les contenus doivent être de grande qualité car ils seront lus par des professionnels qui prendront vraiment le temps de s’attarder mais qui chercheront aussi une information pertinente. La présence d’infographie peut être un atout.
  • Sur Twitter, il faudra privilégier les phrases courtes et percutantes, les retweeter régulièrement et encourager les internautes à partager vos contenus.

 

3. Intéressez-vous aux outils de communication

Publiez vos contenus avec Buffer

Tous les réseaux sociaux proposent des outils de communication. Ils permettent de booster certains contenus afin que ces derniers soient présents sur le fil d’actualité de votre cible.

Souvent payantes, ces options restent très intéressantes car elles vous permettent d’atteindre vos objectifs en termes de visibilité il donne beaucoup de valeur à la création de vos contenus

Si vous souhaitez communiquer via l’un de ces outils, vous devrez auparavant rédiger des contenus de qualité et les accompagner de visuels attrayants.

Bon à savoir

Selon les objectifs à atteindre et le réseau social concerné, vous pourrez opter pour un contenu différent comme le podcast ou la vidéo qui ont un impact positif.

 

4. Publiez des contenus éducatifs

Il existe différents types de contenu à publier sur les réseaux sociaux. En tant que professionnel, il est très intéressant de publier des contenus éducatifs qui répondront aux besoins de vos clients et de manière plus générale de votre audience.

Grâce aux contenus éducatifs, vous apportez une réelle plus-value aux produits et aux services que vous commercialisez. C’est aussi un excellent moyen de montrer votre savoir-faire. En répondant aux questions, vous attirez l’attention sur vous.

Dans le même esprit, vous devez prendre le temps de répondre aux questions qui vous sont posées dans les commentaires. Interagir avec son audience est toujours positif !

 

5. Privilégiez le storytelling

Bien choisir le type de contenu que vous publierez est essentiel pour atteindre votre audience et augmenter votre visibilité.

Les contenus trop promotionnels ne séduisent pas sur les réseaux. Les internautes ne sont pas dupes et n’hésitent pas à passer leur chemin. Pour les atteindre, mieux vaut privilégier les histoires.

Vous pouvez parler :

  • de la création de votre entreprise,
  • de votre environnement,
  • de qui fabrique vos matières premières,
  • des personnes qui travaillent dans votre entreprise,

Les exemples sont nombreux. Vous pouvez également créer une histoire de toute pièce et y mettre en avant vos produits ou vos services. Ce format est plus apprécié et surtout plus partagé. N’hésitez pas à jouer la carte de l’humour ou des sentiments pour toucher votre audience.

Ce type de contenu peut être viral !

 

6. Structurez et soignez vos publications

Pour qu’un contenu soit lu, il doit être attrayant. Ne créez pas d’articles « bloc », préférez les contenus aérés avec un titre percutant qui donneront aux lecteurs l’envie de poursuivre la lecture et des sous-titres qui les guident dans la recherche de réponses.

Notre conseil:

En plus d’un texte de qualité et parfaitement structuré, il faut prévoir des illustrations qui mettent en valeur le contenu. Photos, infographies, graphiques, cartes, vous avez le choix !

 

Booster sa visibilité sur les réseaux sociaux est indispensable. Cette démarche se fait en amont, avant même la publication. Pensez-y !

COMMENT CREER UNE CHARTE GRAPHIQUE PROFESSIONNELLE

Au moment de créer son projet d’entreprise, il faut mettre en place tout l’univers de la communication visuelle de cette dernière. Concrètement, qu’est-ce que cela implique ?

Vous allez devoir travailler le code graphique qui sera repris sur vos supports de communication :

  • Le logo
  • Le site vitrine
  • Les cartes de visite
  • La plaquette commerciale
  • Le papier en tete
  • Etc.

Mais comment établir au mieux sa charte graphique, afin qu’elle corresponde à votre entreprise et au message que vous souhaitez véhiculer ?

La réponse en 5 conseils incontournables !

1. Choisir les couleurs en rapport avec son activité et ses valeurs

Avant tout, prenez le temps de vous renseigner sur le code couleur dans l’univers de l’entreprise. En effet, chaque coloris véhicule involontairement une idée ou une émotion à l’internaute.

Par exemple, le vert fait immédiatement penser à la nature et à l’écologie ; le rouge induit la séduction, mais aussi le dynamisme ; le noir est souvent synonyme de luxe ; le bleu fait penser à la technologie et confère également une sensation reposante…

Vous devez prendre en compte la perception naturelle de ces couleurs pour choisir celle qui correspond à votre activité, mais aussi aux valeurs que vous voulez transmettre.

2. Choisir des polices lisibles et adaptées à sa cible

Vous devrez aussi prendre en compte la nature de votre activité et le profil de vos prospects pour proposer des polices de caractère adaptées.

Par exemple, sachez que le Comic sans MS est aujourd’hui une police tournée en dérision sur la toile, qui bénéficie d’une image ringarde. À l’inverse, les Google Fonts ont actuellement le vent en poupe dans les tendances du Webdesign en 2019 et peuvent devenir l’alliée de votre charte graphique.

Mais parmi ces dernières, il faudra faire un choix entre des modèles jugés masculins, d’autres plus féminins, des caractères enfantins, d’autres graphiques, etc.

3. Intégrer correctement la charte graphique

Vous devez choisir un logo qui doit s’intégrer parfaitement dans votre charte graphique. Si possible, il est recommandé de les traiter ensemble.

Cela permet d’accorder l’ensemble des couleurs et du design avec le symbole de votre entreprise. S’ils sont traités en même temps, ils se combineront parfaitement et vous donnerez immédiatement un aspect ultra-professionnel à vos documents et à votre site internet.

4. Induire une parfaite combinaison des éléments

C’est exactement ce que nous essayons de vous expliquer dans le paragraphe précédent. Pour une charte graphique de qualité, tous les éléments utilisés, c’est-à-dire les formes, les couleurs et les polices, doivent parfaitement se combiner.

Le design complet doit valoriser votre culture d’entreprise et immédiatement induire ce que vous voulez transmettre dans l’esprit de vos prospects.

5. Faire appel à un graphiste professionnel

Si vous n’avez aucune notion de graphisme, mieux vaut confier votre charte graphique à un professionnel. Le design et les couleurs ont un réel impact sur votre cible et un choix en total décalage avec ce qu’ils attendent d’une entreprise comme la vôtre peut impacter votre chiffre d’affaires.

La charte graphique est en quelque sorte la « première impression » ! Or, si vous ratez votre entrée en matière, vos prospects ne voudront pas en apprendre plus, même si vos prestations sont de grande qualité.

Votre charte graphique et votre design vont vous suivre partout et pendant plusieurs années, autant qu’ils soient tous les deux correctement définis dès le lancement de votre activité.

À cet effet, Contactez Futuria Consulting pour vous accompagner !

 

Quelques exemples de chartes graphiques

6 CRITERES IMPORTANTS POUR UN LOGO REUSSI

Vous êtes sur le point de réaliser votre première mission de création de logo, et après discussion avec votre client et étude poussée du cahier des charges, vous voilà fin prêt pour commencer à plancher sur vos premières esquisses.

Mais par où commencer et surtout, quelles sont les composantes d’un logo réussi ?

Pour vous aider dans ce travail, nous avons rassemblé 6 critères parmi les plus importants pour parvenir à construire un logo efficace.

Des clefs qui sont également des arguments essentiels pour expliquer à votre client pourquoi ce n’est pas une bonne idée de confier la réalisation de son logo à son petit cousin même s’«il se débrouille bien en dessin »…

1 – Reconnaissable

Le logo que vous allez concevoir sera l’identité de l’entreprise. Il doit donc être reconnaissable au premier coup d’œil. Cela est encore plus vrai pour des entreprises qui auront besoin d’un logo visible de loin et rapidement, amenés par exemple à être présents sur l’espace public.

À l’heure où notre œil est sollicité des milliers de fois par jour par des messages visuels, la quantité d’informations retenue est infime.

Un logo réussi doit rester dans la mémoire, même s’il n’a été aperçu que quelques secondes.
Qu’il soit figuratif, typographique ou abstrait, faites attention à ne pas trop vous inspirer de ce qui a déjà été fait, au risque de se retrouver à la limite du plagiat.

Le logo de Nike est tellement reconnaissable qu’il n’est pas necessaire de préciser Nike.

2 – Déclinable

Un logo sera amené à figurer sur tous les supports de communication de l’entreprise, écran ou papier, de la plus petite facture jusqu’à la grande affiche. 
C’est pour cette raison qu’il est indispensable qu’il soit déclinable, non seulement en taille mais également en couleur.

Il doit pouvoir garder toute sa force même réduit aux dimensions d’un timbre.

Si le lecteur a besoin d’une loupe pour pouvoir distinguer le détail qui donne tout son sens au logo, alors il faut reprendre le design pour le rendre plus clair.

Évitez donc les détails minuscules qui ne seront visibles qu’en grand format. 

De la même manière, gardez à l’esprit que beaucoup d’entreprises impriment en niveaux de gris ou reçoivent des fax en noir et blanc, documents sur lesquels la qualité de votre logo sera très dégradée.

Votre logo doit pouvoir rester lisible et reconnaissable même dans ces conditions.

 

3 – Durable

Ne vous fiez pas aux modes ! Il est bien sûr assez difficile de réaliser un logo qui soit réellement intemporel, cependant s’il a été pensé pour durer dans le temps, alors vous vous épargnerez la peine de devoir le retravailler dans 1 ou 2 ans.

De plus, dans le cas où un petit coup de jeune serait envisagé (après bien sûr plusieurs années de bons et loyaux services) il sera bien plus facile de faire accepter aux clients de la marque quelques petites modifications plutôt qu’un changement radical de visuel.

 

4 – Simple

Pensez simple. Inutile de commencer un travail en cherchant la complexité dès les premières ébauches.

Demandez-vous ce que vous évoque l’entreprise et son domaine d’activité, tant en termes de visuels que de champs lexicaux.

N’hésitez pas à laisser libre cours à votre pensée en couchant sur papier certains termes ou formes qui vous semblent représentatives.

Notez qu’il est bien plus facile d’ajouter une foule d’éléments à un logo que de travailler une forme simple pour en faire un élément qui ait du sens.

C’est cette simplicité réfléchie qui fera que le logo sera percutant. Il sera aussi beaucoup plus facile à retenir dans l’esprit des gens.

On évitera donc un nombre trop élevé d’effets, de couleurs ou de typographies.

5 – Lisible

Dans le cas par exemple d’un logo incluant des lettres, il est courant de jouer avec les formes et contre-formes typographiques pour leur donner un aspect figuratif.

Cependant, si le figuratif prend totalement le pas sur la typographie, le logo perdra de son sens.
Il est aussi toujours utile de montrer le logo à d’autres personnes, pour vérifier sa lisibilité et sa bonne compréhension de la part d’un public extérieur.

 

6 – En accord avec les codes graphiques du secteur

Un logo étant avant tout un symbole, il est primordial de bien veiller à ce qu’il soit cohérent par rapport au secteur d’activité de l’entreprise.

Il serait par exemple assez incongru de proposer un logo rose vif à une entreprise de pompes funèbres.

Prenez le temps de vous renseigner sur la signification et connotation des couleurs (qui peut d’ailleurs évoluer dans le temps mais en général c’est un processus assez lent).

 

Enfin, pensez à vous accorder un moment de pause pendant lequel vous vous obligerez à ne pas regarder votre logo, pour ne le ressortir que plus tard et ainsi le voir sous un regard neuf.

Cela pourra vous éviter de grosses erreurs qui peuvent sembler évidentes au premier coup d’œil.

Un dernier petit conseil avant de partir ? Préférez un graphiste plutôt qu’un générateur de logo. Le résultat sera bien plus professionnel et votre logo unique.

UX/UI : LES 7 ERREURS LES PLUS COURANTES EN DESIGN

Que vous soyez néophyte ou confirmé en UX/UI (pour expérience/interface utilisateur), tout le monde fait des erreurs.

Mais ce n’est pas une fatalité !

En identifiant les erreurs les plus communes et en faisant bien attention de ne pas les répliquer, vous pouvez vous éviter des pertes de temps voire de clients dont vous vous passeriez bien.

A cet effet, voici 7 erreurs communes que les designers UX/UI font généralement, pour apprendre des erreurs des autres.

Car les bourdes font évoluer !

1. Oublier le cahier des charges

Le métier de designer est captivant et on aimerait parfois pouvoir laisser parler sa créativité à son maximum pour inventer des expériences utilisateur uniques.

Mais il ne faut pas oublier que nous travaillons pour un client qui a des objectifs et une cible particulière.

Veillez à bien ficeler le cahier des charges avec ce dernier en amont pour éviter les modifications en cours de route et tenez-vous-y.

Il n’y a rien de pire qu’un design dont on était fier mais qui ne marche pas parce que l’interface n’est pas adaptée à l’utilisateur (nous y reviendrons).

2. Viser la perfection dès le début

 

Dans UX, il y a expérience. Et comme dans toute expérience, il faut essayer avant de tirer des conclusions hâtives.

Ne cherchez pas à peaufiner votre design dans les moindres détails dès le début, commencez donc par faire des tests sur votre interface auprès de votre public cible via des prototypes.

Bon à savoir

Avec ces retours, vous découvrirez comment ces derniers l’utilisent et pourrez l’améliorer au fur et à mesure de vos expérimentations.

Une fois chose faite, rien ne vous empêchera plus de bichonner votre bébé au pixel près. Mais n’oubliez pas que le point commun entre UX et UI est l’utilisateur.

Il doit être au centre de vos préoccupations.

3. Ne pas savamment jauger esthétisme et fonctionnalité

Combien de projets magnifiques sont passés à la trappe parce qu’ils étaient trop compliqués à utiliser ?

De même, on ne compte plus les projets ultra fonctionnels dont l’esthétisme était passable (voire, disons-le entre nous, carrément moche).

C’est là tout l’art du designer : trouver le point de rencontre entre utilisation ergonomique et esthétisme agréable à l’œil.

De cet équilibre dépend le succès de tous vos projets.

4. Négliger le responsive design

Alors que depuis le 1er juillet 2019 tous les nouveaux sites sont indexés à l’aide de l’index mobile-first, il devient primordial de faire en sorte que la version mobile de votre site soit léchée comme un chat faisant sa toilette : avec soin et dans les détails.

Différenciez bien la version desktop et mobile de votre site, pour que chacune soit parfaitement adaptée à l’appareil utilisé.

5. Travailler pour les robots

Il est indéniable que le référencement naturel (ou SEO) est important pour votre site. Si personne ne peut le trouver, personne ne pourra le visiter.

Mais si vous ne faites pas assez attention à l’utilisateur, il ne restera pas bien longtemps.

Trouvez le juste milieu entre contenu adapté aux google bots et captivant pour vos visiteurs.

6. Attention au plagiat !

Comme vous êtes un designer sérieux, vous faites certainement une veille régulière des dernières tendances en la matière.

  • Il est tentant parfois de s’inspirer voire de copier certaines trouvailles faites par vos homologues, mais faites bien attention.
  • Assurez-vous que ces éléments ne sont pas protégés par un copyright et si c’est le cas, demandez l’autorisation à leurs propriétaires.

7. Ne pas devenir envahissant

Que ce soit pour donner une note à votre application ou pour des données de géolocalisation par exemple, demander une autorisation dès le lancement de l’application ou hors contexte risque de rencontrer un nombre de refus important.

Laissez le temps à vos utilisateurs de se faire une idée sur l’application et ne leur demandez les autorisations qu’au moment où ils en auront besoin.

Ils seront alors plus enclins à vous donner leurs avis ou accès aux fonctionnalités de l’appareil.

COMMENT REUSSIR A FAIRE LA DIFFERENCE ENTRE UX ET UI ?

Si vous vous intéressez même un tout petit peu au design, vous avez déjà entendu les termes UX design et UI design. Vous avez même un peu creusé le sujet, et noté que l’un parlait d’expérience de l’utilisateur, l’autre du design pour l’utilisateur.

Aujourd’hui, nous allons vous apprendre à gagner à tous les coups au jeu des cinq différences entre ces deux termes.

1. Première différence : le vocabulaire

Pour commencer, un peu, un tout petit peu, d’anglais :

  • UX Design signifie User Experience Design, soit Design de l’expérience utilisateur ;
  • UI Design signifie User Interface Design, soit Design d’interface utilisateur.

Évidemment, si nous nous arrêtons là, vous ne serez pas très avancé. C’est pourtant important : si les deux termes impliquent une réflexion envers l’utilisateur final d’un produit, il est question de son expérience dans le premier cas, et de lui donner envie via l’apparence du produit (ou de l’interface) dans le second cas.

 

2. Deuxième différence : les types de design

Penser à créer un design le plus attirant possible est important. Mais ce n’est pas la première étape d’une réflexion.

Quand vous concevez un produit (même un site ou une application), vous devez vous demander au préalable ce qui sera utile à son utilisateur final.

  • Aura-t-il besoin de boutons en plus, d’une poignée ? C’est de l’UX design.
  • Une fois ces éléments déterminés, il sera temps de réfléchir si la poignée doit être courbe ou droite, ou quelle sera sa couleur. C’est le rôle de l’UI design.

Les deux peuvent travailler ensemble, ils y sont même fortement encouragés. Mais L’UX interviendra toujours en premier.

3. Troisième différence : comment travaillent-ils ?

  • Un UX design réussi passera par de nombreuses phases d’études et de tests, afin de tenir compte des usages et des besoins des utilisateurs.
  • L’UI design impliquera d’étudier les tendances graphiques du moment, de manière à s’en inspirer.
  • Le premier va plus à la rencontre des personnes, même si c’est souvent le deuxième qui sera plus vu au premier regard.

4. Pourquoi sont-ils tellement liés ?

Une fois ces différences bien comprises, vous pourriez légitimement vous demander pourquoi ces deux notions se confondent encore tellement dans l’esprit des gens.

  • Tout simplement parce qu’elles sont liées : si l’UX designer décide qu’il faut un menu à gauche pour faciliter la navigation sur un site web, ce sera le rôle de l’UI designer de l’intégrer dans la maquette de la page.
  • Ils ont donc plus qu’intérêt à communiquer entre eux, lors de tous les stades de la mise en œuvre du design.

Et, parfois, il arrive que les deux soient une seule personne (ce qui demande plus de travail mais facilite grandement la communication).

5. Pourquoi les deux sont indispensables ?

Il serait très facile de se dire : « je veux juste que mon produit soit joli, qu’il attire l’œil ». Ou, au contraire, « ce qui m’importe, c’est l’aspect pratique, c’est là-dessus que la différence se fera. »

À votre avis, quel sera le résultat final ? – « Quelque chose qui a l’air génial mais qui est difficile à utiliser est un exemple d’un bon UI et d’un UX négligé. Alors que quelque chose de très pratique mais à l’apparence peu engageante est un exemple d’un bon UX et d’un UI médiocre . »

Si vous ne voulez pas vous retrouver exposé à l’un ou l’autre de ces écueils, vous devrez vous appuyer à la fois sur l’UX design et l’UI design.

5 CONSEILS POUR CREER DE L’EVERGREEN CONTENT

À l’heure où l’actualité dure quelques secondes avant d’être dépassée, comment rédiger du contenu durable et pérenne ?

La plupart des contenus liés à un lancement produit, une tendance annuelle, un rapport précis ou encore l’innovation du moment peuvent rapidement connaître un phénomène d’obsolescence.

C’est tout l’enjeu de l’evergreen content : être un contenu intemporel et non périssable. Voyons comment vous pouvez rédiger de l’evergreen content qui dure toujours !

Comprendre le concept du contenu evergreen

Commençons par bien comprendre la particularité du contenu evergreen. Littéralement, on l’appellera le contenu « toujours vert ».

Cette tendance s’implante de plus en plus au coeur des rédactions web. On aurait pu croire qu’il s’agissait d’une manière plus écologique d’écrire à l’instar du moteur de recherche Ecosia.

Il n’en est rien. Cette notion verte symbolise le fait d’avoir un contenu continuellement frais et neuf. Avoir un tel contenu dans son blog ou site permet de proposer des textes intemporels et populaires.

 

I. Identifiez le bon type de contenu

Avant de rédiger vos contenus, sélectionnez votre thème avec soin. Grâce à votre outil d’analytics, étudiez les courbes de trafic, visite, temps de lecture, commentaire ou évaluation de vos articles de blog. Cela vous permettra de faire émerger deux types de thématiques :

  • Les sujets populaires

Ce sont les sujets pour lesquels vos lecteurs ont une appétence particulière.

Les articles les plus lus ou les mieux notés par exemple tout comme les articles plus anciens qui vous génèrent toujours un nombre de visites important.

  • Les sujets d’intérêt constant

Isolez aussi des articles où des thématiques qui rencontrent un intérêt constant et régulier.

Déterminez ensuite la thématique commune à tous ces contenus.

Il peut s’agir du sujet, mais aussi de la manière dont vous avez formulé votre titre (une question, un tuto), ou encore de votre style éditorial (une checklist, un pas à pas, un article d’opinion).

Ensuite, vous disposez de toute la manière pour rédiger du contenu evergreen. Trouvez une variante du thème le plus populaire et des idées d’articles en relation.

Par exemple, pour un article sur : comment se lancer en freelance ?
Vous pouvez décliner :

  • Les 5 étapes clés pour devenir freelance
  • Comment trouver des clients en freelance ?
  • Et si vous passiez le cap pour devenir indépendant
  • Quitter un CDI et devenir Freelance
  • etc.

Bien que la base de votre article soit la même, tentez de créer du contenu nouveau pour ne pas risquer un carton rouge de Google pour duplicate content et d’ennuyer vos lecteurs.

 

II. Proposez des solutions pour vos clients

Une source intarissable de contenu intemporel se trouve aussi dans les problèmes que rencontrent vos clients.

Reprenez des commentaires sur vos articles, des mails de contact que l’on vous a envoyé ou interrogez-les directement par un sondage sur les réseaux sociaux.

Plus vous arriverez à identifier les « pain points » universels qu’ils rencontrent, plus vous serez à même de rédiger un contenu précis et utile qui aura une durée de vie beaucoup plus longue qu’à l’accoutumée.

Visez aussi la longue traîne avec des thématiques précises où vous pourrez capter une audience qualifiée.

 

III. Trouvez l’inspiration sur les réseaux sociaux

Cherchez les tendances en dehors de votre site pour voir les articles qui fonctionnent le mieux, pour cela :

  • Faites de la veille sur des sites concurrents ou proches de vous. Quels sont leurs meilleurs articles sur ce thème ?
  • Regardez les types de posts qui fonctionnent le mieux sur les réseaux sociaux avec un outil comme Buzzsumo par exemple.
  • Enfin, analysez les volumes de recherche sur votre mot clé principal grâce à Google Trends.

 

IV. Choisissez le bon format

Plusieurs formats sont possibles pour rédiger du contenu evergreen :

  • Articles de blog ;
  • Guides ;
  • Tutoriels ;
  • Livres blancs ;
  • Listes d’outils.

Ces derniers ont une vraie valeur ajoutée.

Attention

Attention toutefois aux infographies et études chiffrées qui ne seront plus citées en source au bout de deux ou trois ans.

En termes de calibrage, du contenu evergreen ne fait pas exception à la taille d’un article type :

  • Soit vous souhaitez couvrir un sujet bref ou très précis avec une liste synthétique. Le format idéal se situe en dessous de 500 mots.
  • Sinon, nous vous recommandons d’écrire au minimum 800 mots et plus pour pouvoir couvrir votre sujet de manière détaillée et capter des lecteurs récurrents.

 

V. Rédigez de manière intemporelle

Le style rédactionnel est également essentiel pour faire durer votre contenu dans le temps.

Ne faites pas référence à des événements d’actualité, parlez de périodes longues et ne mentionnez pas de marqueur temporel précis comme :

  • cette année ;
  • hier ;
  • le mois dernier.

Si vous souhaitez avoir un texte à la fois intéressant et agréable à lire, vous pouvez confier la rédaction à nos équipes. Ensemble, nous saurons construire un contenu adapté à vos besoins et à ceux de vos lecteurs.

 

5 CONSEILS FACILES A APPLIQUER POUR AMELIORER LE CONTENU DE VOTRE PAGE WEB

1. Rédigez du contenu pertinent et mémorable… allez droit au but !

Apportez une vraie valeur ajoutée à vos contenus, faites-en sorte de traiter de thèmes utiles pour vos lecteurs, en de termes précis, illustrés d’exemples et de photos pour éviter la monotonie du texte. Travaillez bien vos titres, pour donner envie de lire vos sujets.

Un texte original et intéressant est un texte mémorable. Non seulement vous suscitez la curiosité, mais vous marquez vos lecteurs en vous différenciant de ce qu’ils voient habituellement.

Mettez des mots sur votre activité, et présentez le concept de votre entreprise de manière claire, simple et précise. Allez droit au but, évitez les métaphores, et dites-le en des mots simples et accessibles au grand public. On doit pouvoir vous comprendre facilement : gardez en tête qu’un message simple est un message percutant !

Quelle organisation pour votre contenu textuel et média ?

2. Hiérarchiser les informations

Pourquoi hiérarchiser ses informations ? Mine de rien, avoir une présentation claire, ça permet de trouver les informations au bon endroit. Et c’est important de pouvoir s’y retrouver sur un site internet, surtout si vous avez beaucoup d’informations. Le lecteur ne doit pas se perdre !

Comment s’y prendre ?

Listez votre contenu, et organisez-le par catégories, puis structurez les informations pour pouvoir réaliser le plan du site, qu’on appelle l’arborescence, point de base du menu. Une fois éclairci, faites-en sorte que votre menu soit accessible et intuitif, pour voir l’architecture du site simplement et facilement.

3. Un graphisme user-friendly et beau

Une fois vos contenus organisés, il sera plus simple de travailler le graphisme d’un site internet. En théorie c’est une étape qui doit toujours venir après la création de contenu, car c’est le design qui doit s’adapter au contenu et non l’inverse.
Plusieurs règles donc pour le graphisme.

  • Il doit s’adapter à l’arborescence de votre site internet, pour le rendre intuitif. Vos visiteurs ne devraient presque pas avoir à penser comment naviguer sur votre site si votre design a bien été fait.
  • Il doit être adapté au contenu, c’est à dire qu’il doit exister un bon équilibre, une bonne répartition de textes, images, vidéos etc…
    Il doit être convivial, ou “user friendly”, avec les bons aspects et les bonnes textures pour indiquer les éléments cliquables, et les actions réalisables sur chaque page.
  • Enfin, lorsqu’on parle de graphisme on doit parler d’esthétique ! Un site internet visuellement attractif et créatif, qui transmet les valeurs de la marque et qu touche le lecteur en lui transmettant des émotions, c’est aussi un site internet qui persuade !

Un design travaillé par un professionel pour transmettre une image professionnelle et donner confiance

4. Optimiser le temps de chargement

La rapidité à charger d’une page web est clé dans le taux de rebond (Bounce Rate) de votre site. Plus la page charge rapidement, plus de vous avez de chances de faire baisser votre taux de rebond. C’est aussi un des facteurs entrant en jeu dans le référencement SEO.

Mettre en pratique simplement avec ces quelques exemples :

  • Optimiser le poids des images de votre site internet (voir notre article à ce propos)
  • Réduire le temps de réponse du serveur
  • Exploiter la mise en cache du navigateur pour charger une page plus rapidement à partir de la seconde connexion.

5. Responsive obligatoire

Votre site internet doit pouvoir s’adapter quelque soit l’appareil mobile sur lequel il est consulté, et pour cela on utilise le responsive.

Pourquoi est-il obligatoire d’avoir un site responsive ?

De plus en plus de connections à internet se font depuis un autre appareil qu’un pc de bureau, souvent sur des formats plus petit, comme mobiles ou tablettes. Cela permet d’améliorer l’expérience user en la rendant cohérente, augmente l’engagement, et favorisant donc les conversions de vos leads !

Comment faire ?

Il faut définir un format et des tailles de polices, pour chaque format d’écran. La plupart des templates qu’on trouve sur internet sont déjà programmés pour être responsives, et heureusement car google prend désormais en compte ce détail lors des calculs de SEO. Autrement dit, avoir un site responsive influe positivement sur votre référencement